« Sans aucune prétention, je crois qu’on formait un beau trio pour dessiner le futur de l’aventure »

En 2o16, Sandy Le Nagard prend la décision de passer de la CDJ de 250 m² à Langueux, magasin qu’elle avait repris en 2o13, à un espace de 600 m², dont 500 dédiés à la vente, sur la même zone commerciale. « La Compagnie du Jean est une des rares boutiques indépendantes. Sur la zone commerciale c’est totalement atypique.

L’esprit de l’indépendance

Je choisis les marques, les collections, les styles. Nous avons investi ce nouvel espace en août 2o16, mais dès le début de cette année là j’avais commencé à travailler avec Des ronds dans l’eau. Nous avions entamé des discussions débridées sur l’agencement et la communication de la future boutique et, dès le début du projet, l’agence est associée à la réflexion et aux décisions. Pour ce chantier déterminant pour la CDJ, j’ai travaillé avec un architecte de Dinard, Christophe Bachman. Sans aucune prétention, je crois qu’on formait un beau trio pour dessiner le futur de l’aventure », précise Sandy en regardant quatre années en arrière.


L’esprit factory

L’entente cordiale s’est fondée sur une ambiance Factory pour la nouvelle boutique. On y reconnaît d’ailleurs allègrement la patte Des ronds dans l’eau. « Pour moi ils ont été très important dans le lancement, dans l’accompagnement pour nous démarquer des autres, trouver notre identité, nous différencier de la concurrence environnante. Nous avions la chance de démarrer à vide. On a tout mis à plat : le magasin et la communication. La personnalité du magasin et la personnalité de sa directrice devaient être en parfaite symbiose et en équilibre de plaisir. Avec Des ronds dans l’eau mon équipe et moi-même avons eu de longs et fructueux entretiens qui racontaient le travail, les marques, la clientèle, l’implication dans le magasin.

Deux grands axes de travail ont alors concrétisé l’histoire : d’abord la communication par et dans le magasin : l’agencement, le directionnel pour trouver la circulation la plus commerciale et puis l’image de ce nouvel espace. Nous voulions un magasin branché qui s’adapte à toute clientèle, un family store Hommes-femmes-enfants. On est alors passé de CDJ à CDJ Factory, notamment en accentuant le côté industriel dans le mobilier mais aussi avec des symboles architecturaux forts tels le silo à l’entrée, le rail, le sol en béton poncé… Tout cela s’est fait de manière assez harmonieuse par un travail en co-construction en trio », évoque avec plaisir Sandy.

«Pour moi l’agence a été très importante dans le  lancement, dans l’accompagnement pour me démarquer des autres. cela m’a poussée à faire des choses qui me font progresser, à aller voir ailleurs.»

L’esprit libre

« Christophe a toujours un plein d’idées d’avance,… », reconnaît Sandy « … l’identité forte de CDJ Factory est particulièrement bien reconnue… après le croco, le lama, désormais le chien… il n’y a pas une journée où nous n’avons pas de retour des clients particulièrement positifs. Et puis la déco a un impact énorme. Il y a un an j’ai voulu accentuer la dimension de l’indépendance dans mes achats. Avec DRDE on a réfléchi au positionnement de la boutique. Très rapidement l’agence a traduit ce nouveau virage dans une communication et des messages adaptés qui affirment cette particularité de l’indépendance CDJ Factory. Nous racontons notre esprit et notre volonté d’un commerce ancré localement, libre et indépendant, face à une concurrence qui, elle, fait partie de groupes et de franchises. Cela a une influence forte sur notre clientèle, sensible à la volonté et à l’expression de cette indépendance. » dit avec détermination Sandy.

L’esprit de famille

« Pour aller plus loin encore, nous avons travaillé avec Léna sur les réseaux sociaux… », précise la directrice enthousiaste, « … J’ai tout misé sur cette comm’ avec un budget important dédié au développement d’une stratégie digitale sur Instagram et Facebook en une année. Une communication moins coûteuse et plus visible : on a créé une communauté à qui on passe des messages. Même si, désormais après une année de boulot en commun, j’ai les clés pour gérer les réseaux sociaux, je sollicite l’agence régulièrement et chaque mois nous réalisons un lookbook.

Cette communauté, cette famille CDJ Factory, je suis en train de l’agrandir encore et de renforcer notre esprit de communauté d’intérêt en créant toujours plus de lien avec nos clients. », détaille avec sérieux Sandy. « Des ronds dans l’eau, ils sont vraiment différents parce que, justement, c’est une équipe à l’image des forces de la différence, de la complémentarité et des oppositions fécondes. Il est indispensable de travailler avec une bonne boîte de comm car on a besoin de bons outils. DRDE ce sont de vrais accompagnateurs, très présents du début jusqu’à la fin, très créatifs. Ils trouvent les justes et bons mots, s’adaptent à moi et à mon public. Aujourd’hui, je suis fière quand je fais les boutiques à Nantes ou Paris de me dire qu’à Langueux on n’est pas si mal que cela. », conclut Sandy, reconnaissante et optimiste.

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